mercredi 1 avril 2009

OT Expo del agua de Zaragoza, propuesta por Pilar López (3ºB)

AGUA “OT” No sé dónde estoy,
sólo sé que estoy en todas partes.
No sé a dónde voy,
mi corriente cambia cada instante.
No, no me faltes nunca
y, antes que muera de sequía el corazón,
anda y rompe tu silencio.
Eres tu, soy yo,
agua como el resto de la gente.
Agua en mi canción
para que no suene indiferente.
Todos somos gotas de lluvia.
Del agua de un río
que busca su mar,
una sola ciudad con destino,
luz en la oscuridad,
mil voces que cantan
por un mismo camino
y que corra por el mundo
el agua de mi vozco
mo río de paz.
Bebe de mí, bebe de ti,
siente como empieza a refrescarte.
Vive y siéntelo,
agua y música por todas partes.
Sólo puedo dar las gracias por tenerte.
No me importa dónde suenes.
Sigue la corriente
del agua de un río
que busca su mar,
una sola ciudad con destino,
luz en la oscuridad,
mil voces que cantan
por un mismo camino
y que corra por el mundo
el agua de mi voz
como río de paz.

OT Expo del agua de Zaragoza

jeudi 19 mars 2009

"De l'eau" d'Elodie Frégé, proposée par Perrine

De l'eau d’Elodie Frégé :
De l'eau pour noyer chagrins et peines
Oui de l'eau pour éteindre colère et haine
Si tout le monde pouvait verser
Dans l'océan, dans le désert
J'apporte ma goutte d'eau
Comme d'autres leur grain de sel
Elle roule, elle coule, elle se dépose
Même si c'est pas grand chose,
moi je dis ça s'arrose

samedi 14 mars 2009

C'est pas l'homme qui prend la mer Renaud

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Tatatin
Moi la mer elle m'a pris
J'me souviens
Un mardi
J'ai troqué mes santiags
Et mon cuir un peu zone
Contre une paire de Dock Side
Et un vieux ciré jaune
J'ai déserté les crasses
Qui m'disaient « Soit prudent »
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu
Tant pis!
J'ai eu si mal au coeur
Sur la mer en furie
J'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J'me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ca m'a coûté des sous
C'est la d'plaisance, c'est l'pied!
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons
Ohohohohoh hisséo !
De lapin !

Les lavandières / las lavanderas

« Par dessus bord » Dominique Boulmer / Bernard Garet /Ellebore

Des flancs du château,
Des rues du faubourg
Elles roulent, roulent sur les pavés ;
Du bourg d’Avesnières
De Pritz et de Bootz
Elles déboulent, charrettes et civières
Et par la passerelle
Ou par le vieux pont
Elles se bousculent vers les bateaux ;

Civières et charrettes à bras
Civières et charrettes à bras
Elles descendent vers la rivière
Elles vont vers les bateaux-lavoirs

Salopettes et combinaisons
Linge de ménage et linge de corps
Petit linge et dessous fripons
Tout va tremper par-dessus bord.

Blouses de jour et chemises de nuit,
Camisoles et tabliers,
Torchons serviettes et linge de nuit,
Tout va passer dans nos cuviers !

Quand les mariniers de Loire chantaient / Cuando cantaban los marineros del Loira

« Nous étions trois capitaines » Ellébore

Ah ! Nous étions trois capitaines
De la Loire en remontant
Brave, brave
De la Loire en remontant
Oh, bravement !

Nous avons passé par une auberge
Une auberge de Montjean

Là j’ai mis le pied à la porte
« L’hôtesse as-tu du vin blanc ? »

« Ah oui, ah oui », répond l’hôtesse
J’en ai du rouge et du blanc

L’hôtesse apporte-moi une chopine
Chopinette de vin blanc

Quand la chopinette fut bue
« Messieurs, payez-moi comptant ! »

Là j’ai mis ma main à la poche
J’ai tiré trois écus blancs

« Ah ! Grand merci", a dit l’hôtesse
Revenez donc plus souvent !

mercredi 4 mars 2009

Jean Paul Martini (1741-1816) "Plaisir d'amour"

"Tant que cette eau coulera doucement
vers ce ruisseau qui borde la priairie,
je t'aimerai", me répétait Sylvie.
L'eau coule encore, elle a changé pourtant.

Plaisir d'amour ne dure qu'un moment:
chagrin d'amour dure toute la vie.

lundi 23 février 2009

Tryo: "L'hymne de nos campagnes"

Assieds-toi près d'une rivière
Écoute le coulis de l'eau sur la terre
Dis-toi qu'au bout, hé! il y a la mer
Et que ça, ça n'a rien d'éphémère
Tu comprendras alors que tu n'es rien
Comme celui avant toi, comme celui qui vient
Que le liquide qui coule dans tes mains
Te servira à vivre jusqu'à demain matin!

C'est l'hymne de nos campagnes
De nos rivières, de nos montagnes
De la vie man, du monde animal
Crie-le bien fort, use tes cordes vocales!